Johnny Satterwhite – L’homme qui a tué les 4 enfants de son épouse par dépit amoureux
Quand le dépit amoureux pousse au pire. C’est l’histoire d’un ouvrier fraiseur qui dans un acte de dépit va tuer son fils et ses trois beaux-enfants avant de se suicider.
En apparence Johnny et sa femme Bertha formait un couple idéal. Bertha a trois enfants d’une précédente relation. Le couple totalise 12 années de mariage et vit en Caroline du Sud aux Etats-Unis.
Depuis quelque temps, le couple bat de l’aile. Bertha ne veut plus de cette union. Elle veut la séparation; ce qui n’est pas du tout du goût de Johnny. Lorsque finalement la séparation est actée, Johnny décide de tuer son épouse et va lui laisser un message sibyllin le jour du crime. Il lui souhaite à l’avance un joyeux Noël en lui annonçant qu’elle sera totalement seule au début de l’année 1997.
En effet, le 18 novembre 1996, Johnny débarque chez Bertha et abat froidement les quatres enfants dans leur lit ( son fils et ses trois beaux-enfants). Après avoir accompli son sinistre forfait, il demande à un ami de dire à son épouse qu’il a laissé 4 paquets surprise pour elle à la maison. Johnny se rend par la suite dans sa voiture et prend le volant pour se diriger vers le cours d’eau le plus proche. Il se suicide.
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A son arrivée à la maison, Bertha est très loin d’imaginer ce qui l’attend. Elle découvre l’horreur; ses 4 enfants froidement assassinés : Christopher, 10 ans, Johnny Gary, 13 ans, Terrance Gary, 14 ans et Mary Gary, 16 ans. Les garçons avaient chacun reçu deux balles dans la tête et la fille trois balles. Tous les quatre étaient allongés en pyjama dans leur lit.
Johnny avait minutieusement préparé son coup. Il avait fait le nécessaire pour retirer sa femme son assurance-vie.
La police a également trouvé dans la maison la note de Johnny Satterwhite à sa femme : « Joyeux Noël, salope. J’espère que tu es satisfaite. Tu seras seul en 97”.
Les fins limiers de la police vont fouiller les bois à proximité et le corps du meurtrier est retrouvé dans le réservoir de la ville de Clinton.
La terre est sale ! Si è ne mvit !
Arol KETCH – 09.06.2022
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